Texts by A. de Noailles set in Art Songs and Choral Works
Text Collections:
- Le Cœur innombrable
- Les Éblouissements
- Les Forces éternelles
- Les Vivants et les Morts
- L'honneur de souffrir
- L'Ombre des jours
- Poème de l'Amour
Texts set in art song or choral works (not necessarily comprehensive):
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- Ah ! que vivre est divin ! L'âpre brise marine (from Les Éblouissements - 3. Les jardins) [x] - J. Pillois (Jardin près de la mer)
- Ardeur (Rire ou pleurer, mais que le cœur) (from Le Cœur innombrable) - J. de la Presle
- Aucun jour je ne me suis dit (Aucun jour je ne me suis dit) (from Poème de l'Amour) - R. Oboussier
- Aucun jour je ne me suis dit (from Poème de l'Amour) - R. Oboussier
- Ce matin de juin est candide, charmant (from Les Éblouissements) - I. Fuerison (Ce matin de juin)
- Ce matin de juin (Ce matin de juin est candide, charmant) (from Les Éblouissements) - I. Fuerison
- C'est un calme qu'on ne peut dire (C’est un calme qu’on ne peut dire) - R. Laparra ENG
- C’est un calme qu’on ne peut dire ENG - R. Laparra
- Cette tasse de bois noire comme un pépin (from Le Cœur innombrable) ENG - L. Vierne (Offrande à Pan)
- Chanson pour Avril (Toute la nuit la pluie légère) (from Le Cœur innombrable) - L. Vierne ENG
- Chant de Chloé (Un brûlant frelon vient se pendre) (from Les Forces éternelles - 4. Poèmes de l'amour) - R. Laparra
- Chère ombre à qui je parle bas (from L'honneur de souffrir) [x] - R. Oboussier
- Chère ombre (Chère ombre à qui je parle bas) (from L'honneur de souffrir) - R. Oboussier [x]
- Clarté du temps! Kypris au sourire innombrable (from Le Cœur innombrable) ENG - L. Vierne (Offrande à Kypris)
- Comme un couteau dans un fruit (from Les Forces éternelles - 3. Poèmes de l'esprit) - E. Lockspeiser (Mélodie)
- Déjà la vie ardente incline vers le soir (from Le Cœur innombrable) - R. Vuataz (Le temps de vivre)
- En expirant j’entraînerai l’univers dans ma tombe ouverte (from L'honneur de souffrir) - H. Covatti-Dussaut (En expirant j'entraînerai)
- En expirant, j'entraînerai l'univers (En expirant j’entraînerai l’univers dans ma tombe ouverte) (from L'honneur de souffrir) - H. Covatti-Dussaut
- En expirant j'entraînerai (En expirant j’entraînerai l’univers dans ma tombe ouverte) (from L'honneur de souffrir)
- Enfance dans la Savoie (à ma grand-mère la Baronne de Laumont) (Il a plu cette nuit, une naïve odeur parfume le ciel gris) - A. Marquiset
- Enfant Érôs qui joues à l’ombre des surgeons (from Le Cœur innombrable) - M. d'Ollone (L'enfant Eros)
- Éros (Hélas ! que la journée est lumineuse et belle !) (from Les Éblouissements - 1. Vie-joie-lumière) - L. Vierne
- Été, j’ai cherché trop longtemps (from Les Éblouissements - 4. La Douleur et la Mort) - C. Saint-Saëns (Soir romantique)
- Hélas ! que la journée est lumineuse et belle ! (from Les Éblouissements - 1. Vie-joie-lumière) - L. Vierne (Éros)
- Il a plu cette nuit, une naïve odeur parfume le ciel gris - A. Marquiset (Enfance dans la Savoie (à ma grand-mère la Baronne de Laumont))
- Il fera longtemps clair ce soir, les jours allongent - J. de la Presle
- Il fera longtemps clair ce soir (Il fera longtemps clair ce soir, les jours allongent) - J. de la Presle
- J’ai tant rêvé par vous, et d’un coeur si prodigue - P. Loiseleur
- J’ai tant rêvé par vous (J’ai tant rêvé par vous, et d’un coeur si prodigue) - P. Loiseleur
- Jardin près de la mer (Ah ! que vivre est divin ! L'âpre brise marine) (from Les Éblouissements - 3. Les jardins) - J. Pillois [x]
- J'aurais pu ne jamais connaître (J'aurais pu ne jamais connaître) (from L'honneur de souffrir) - R. Oboussier [x]
- J'aurais pu ne jamais connaître (from L'honneur de souffrir) [x] - R. Oboussier
- Je m'appuierai si bien et si fort à la vie - J. de la Presle (L'empreinte)
- Je songe à ta main longuement (Je songe à ta main longuement) (from L'honneur de souffrir) - R. Oboussier [x]
- Je songe à ta main longuement (from L'honneur de souffrir) [x] - R. Oboussier
- Je suis dans l'herbe chaude et fine (Je suis dans l'herbe chaude et fine) - I. Fuerison
- Je suis là, sur le balcon sombre (from Les Éblouissements - 1. Vie-joie-lumière) - P. Narcès (Solitude)
- Je suis là, sur le balcon (Je suis là, sur le balcon sombre) (from Les Éblouissements - 1. Vie-joie-lumière) - P. Narcès
- Jeunesse (Pourtant tu t’en iras un jour de moi, Jeunesse) (from L'Ombre des jours) - P. de Laurière, M. d'Ollone, G. Uribe Holguín
- La Chaude Chanson (La guitare amoureuse et l’ardente chanson) (from Le Cœur innombrable) - C. Kufferath
- La demeure en juillet, pendant l’après-midi (from Les Éblouissements - 1. Vie-joie-lumière) - P. Narcès (La Demeure en juillet)
- La Demeure en juillet (La demeure en juillet, pendant l’après-midi) (from Les Éblouissements - 1. Vie-joie-lumière) - P. Narcès
- La guitare amoureuse et la chaude chanson (from Le Cœur innombrable) (La Chaude Chanson) - C. Kufferath
- La guitare amoureuse et l’ardente chanson (from Le Cœur innombrable) - C. Kufferath (La Chaude Chanson)
- La Journée heureuse (Voici que je défaille et tremble de vous voir) (from Le Cœur innombrable) - G. Witkowski
- La lune, dites-nous si c'est votre plaisir (from Le Cœur innombrable) - P. Paray (Paroles à la lune)
- L'Ardeur (Rire ou pleurer, mais que le cœur) (from Le Cœur innombrable) - M. Labori
- Le Jardin et la Maison (Voici l'heure où le pré, les arbres et les fleurs) (from Le Cœur innombrable) - J. Béesau, R. Chansarel, A. Dupuis, C. Grisart, G. Witkowski ENG
- L'empreinte (Je m'appuierai si bien et si fort à la vie) - J. de la Presle
- L'enfant Eros (Enfant Érôs qui joues à l’ombre des surgeons) (from Le Cœur innombrable) - M. d'Ollone
- Le pays (Ma France, quand on a nourri son cœur latin) (from Le Cœur innombrable) - J. de la Presle, G. Witkowski
- Le plaisir mystique et païen (from Le Cœur innombrable) ENG - G. Beach, L. Vierne (Le repos)
- Le Premier Chagrin (Nous marchions en été dans la haute poussière) (from L'Ombre des jours)
- Le repos (Le plaisir mystique et païen) (from Le Cœur innombrable) - G. Beach, L. Vierne ENG
- Le soir est un silence odorant, rose et clair (from Les Éblouissements - 2. Beauté de la France) - A. Borchard (Soir basque)
- Les plaintes d'Ariane (Le vent qui fait tomber les prunes) (from L'Ombre des jours) - J. Béesau, M. Delannoy, G. Guérande CHI
- Les Violons dans le soir (Quand le soir est venu, quand tout est calme enfin) (from Les Éblouissements) ENG LIT
- Le temps de vivre (Déjà la vie ardente incline vers le soir) (from Le Cœur innombrable) - R. Vuataz
- Le vent qui fait tomber les prunes (from L'Ombre des jours) CHI - J. Béesau, M. Delannoy, G. Guérande, M. d'Ollone (Les plaintes d'Ariane)
- Le vent (Le vent qui fait tomber les prunes) (from L'Ombre des jours) - M. d'Ollone CHI
- L'honneur de souffrir (Nul lit, nulle chambre, nul toît) (from L'honneur de souffrir) - W. van der Bilt
- Lorsque la mort succédant à l'ennui (from L'honneur de souffrir) - H. Dutilleux
- Ma France, quand on a nourri son cœur latin (from Le Cœur innombrable) - J. de la Presle, G. Witkowski (Le Pays)
- Mélodie (Comme un couteau dans un fruit) (from Les Forces éternelles - 3. Poèmes de l'esprit) - E. Lockspeiser
- Mets les mains sur mon front où tout l'humain orage (from Le Cœur innombrable) - C. Saint-Yves (Plainte)
- Mets tes mains sur mon front où tout l'humain orage (from Le Cœur innombrable) (Plainte) - C. Saint-Yves
- Morts qui me fûtes chers, ne soyez pas jaloux (from L'honneur de souffrir) - R. Oboussier
- Morts, qui me fûtes chers (Morts qui me fûtes chers, ne soyez pas jaloux) (from L'honneur de souffrir) - R. Oboussier
- Nous marchions en été dans la haute poussière (from L'Ombre des jours) - M. Delannoy (Le Premier Chagrin)
- Nous marchions tous les deux dans la haute poussière (from L'Ombre des jours) (Le Premier Chagrin) - M. Delannoy
- Nous sommes seuls ; puisque tu m'aimes (from Les Vivants et les Morts - 1. Les passions) - R. Corniot (Soir sur la terrasse)
- Nul lit, nulle chambre, nul toît (from L'honneur de souffrir) - W. van der Bilt
- Offrande à Kypris (Clarté du temps! Kypris au sourire innombrable) (from Le Cœur innombrable) - L. Vierne ENG
- Offrande à Pan (Cette tasse de bois noire comme un pépin) (from Le Cœur innombrable) - L. Vierne ENG
- Ô lumineux matin, jeunesse des journées (from Le Cœur innombrable) - Naoumoff, G. Witkowski (Ô lumineux matin)
- Ô lumineux matin (Ô lumineux matin, jeunesse des journées) (from Le Cœur innombrable) - Naoumoff, G. Witkowski
- Ô Mort, vous rendez tout à vos pâles élus (from Les Forces éternelles - 3. Poèmes de l'esprit) - R. Oboussier
- Ô Mort, vous rendez tout (Ô Mort, vous rendez tout à vos pâles élus) (from Les Forces éternelles - 3. Poèmes de l'esprit) - R. Oboussier
- On m’a parlé ce soir des villes savoureuses (from Poème de l'Amour) - I. Fuerison
- On m'a parlé ce soir (On m’a parlé ce soir des villes savoureuses) (from Poème de l'Amour) - I. Fuerison
- Paroles à la lune (La lune, dites-nous si c'est votre plaisir) (from Le Cœur innombrable) - P. Paray
- Paysage persan (Un jet d’eau, parmi des tulipes) (from Les Éblouissements - 1. Vie-joie-lumière) - L. Rohozinski
- Plainte (Mets les mains sur mon front où tout l'humain orage) (from Le Cœur innombrable) - C. Saint-Yves
- Poema LXVIII (Universo, yo te miré) - M. Ponce (Text: Anonymous after Anna Elizabeth Mathieu, Comtesse de Noailles)
- Pourtant tu t’en iras un jour de moi, Jeunesse (from L'Ombre des jours) - P. de Laurière, M. d'Ollone, G. Uribe Holguín (Jeunesse)
- Premier Chagrin (Nous marchions en été dans la haute poussière) (from L'Ombre des jours) - M. Delannoy
- Promeneuse (Tu marchais sous le ciel nocturne) (from Les Forces éternelles - 3. Poèmes de l'esprit) - E. Lockspeiser
- Quand le soir est venu, quand tout est calme enfin (from Les Éblouissements) ENG LIT - C. Saint-Saëns (Les Violons dans le soir)
- Quand le soir est venu, que tout est calme enfin (from Les Éblouissements) ENG LIT (Les Violons dans le soir) - C. Saint-Saëns
- Regards sur l'infini (Lorsque la mort succédant à l'ennui) (from L'honneur de souffrir) - H. Dutilleux
- Rire ou pleurer, mais que le cœur (from Le Cœur innombrable) - M. Labori, R. Oboussier, J. de la Presle (L'ardeur)
- Rire ou pleurer (Rire ou pleurer, mais que le cœur) (from Le Cœur innombrable) - R. Oboussier
- Si l'esprit survivait à la chair, je saurais (from L'honneur de souffrir) [x] - R. Oboussier
- Si l'esprit survivait à la chair (Si l'esprit survivait à la chair, je saurais) (from L'honneur de souffrir) - R. Oboussier [x]
- Soir basque (Le soir est un silence odorant, rose et clair) (from Les Éblouissements - 2. Beauté de la France) - A. Borchard
- Soir romantique (Été, j’ai cherché trop longtemps) (from Les Éblouissements - 4. La Douleur et la Mort) - C. Saint-Saëns
- Soir sur la terrasse (Nous sommes seuls ; puisque tu m'aimes) (from Les Vivants et les Morts - 1. Les passions) - R. Corniot
- Solitude (Je suis là, sur le balcon sombre) (from Les Éblouissements - 1. Vie-joie-lumière)
- Tout de toi me trompe : tu danses (Tout de toi me trompe : tu danses) (from L'honneur de souffrir) - R. Oboussier
- Tout de toi me trompe : tu danses (from L'honneur de souffrir) - R. Oboussier
- Toute la nuit la pluie légère (from Le Cœur innombrable) ENG - L. Vierne (Chanson pour Avril)
- Tu marchais sous le ciel nocturne (from Les Forces éternelles - 3. Poèmes de l'esprit) - E. Lockspeiser (Promeneuse)
- Tu ne peux rien pour moi, puisque je t’aime (from Poème de l'Amour) - R. Oboussier
- Tu ne peux rien pour moi (Tu ne peux rien pour moi, puisque je t’aime) (from Poème de l'Amour) - R. Oboussier
- Un brûlant frelon vient se pendre (from Les Forces éternelles - 4. Poèmes de l'amour) - R. Laparra (Chant de Chloé)
- Univers, je t'ai regardé D'un oeil qui loue et qui défie (from L'honneur de souffrir) [x] - R. Oboussier
- Univers, je t'ai regardé (Univers, je t'ai regardé D'un oeil qui loue et qui défie) (from L'honneur de souffrir) - R. Oboussier [x]
- Univers je t'ai regardé SPA
- Universo, yo te miré (Text: Anonymous after Anna Elizabeth Mathieu, Comtesse de Noailles) - M. Ponce
- Un jet d’eau, parmi des tulipes (from Les Éblouissements - 1. Vie-joie-lumière) - L. Rohozinski (Paysage persan)
- Violons dans le soir (Quand le soir est venu, quand tout est calme enfin) (from Les Éblouissements) - C. Saint-Saëns ENG LIT
- Voici l'heure où le pré, les arbres et les fleurs (from Le Cœur innombrable) ENG - J. Béesau, R. Chansarel, A. Dupuis, C. Grisart, G. Witkowski (Le Jardin et la Maison)
- Voici que je défaille et tremble de vous voir (from Le Cœur innombrable) - G. Witkowski (La Journée heureuse)
- Vous êtes mort un soir à l'heure où le jour cesse (from L'honneur de souffrir) - R. Oboussier
- Vous êtes mort un soir (Vous êtes mort un soir à l'heure où le jour cesse) (from L'honneur de souffrir) - R. Oboussier
Last update: 2024-07-28 04:28:38